"Un, personne et cent-mille" de Pirandello

Voilà un bon livre pour les vacances ! En fait, tout dépend de l’endroit où vous vous êtes amarrés. 

Le livre est complexe et super intéressant. C’est du plaisir à essayer de comprendre l’état du protagoniste. Mais, si vous êtes à la plage, en plein soleil, avec plein d’enfants autour, c’est raté.  

Moi, j’y ai pris du plaisir… mais personne ne me courait après. Je pouvais lire à envi. Je pouvais m’arrêter, aller me désaltérer, et revenir reprendre le livre avec l’idée en tête… 

Ah si, il y a quelque chose qui m’a embêté : c’est cette habitude que l’auteur a de s’adresser au lecteur. Je n’aime pas ça ! D’ailleurs, mon co-auteur, Patrick, le fait souvent. Moi, je le corrige. Je n’aime pas ça. Quoi ? Quand je suis lecteur, qu’est-ce que tu me demandes mon avis ? Je peux changer quelque chose si je ne suis pas d’accord ? Non ! 

Sinon, pour le reste : super génial ! « Un, personne et cent-mille » de Pirandello, je vous le recommande. Gé-nial ! 

Sinon, quoi de neuf à part Pirandello ? 

Molière ou Shakespeare ! Ou alors Ant Askman. Essayez, vous verrez bien. Et vous l’adopterez ! C’est sûr. 

Ma dernière acquisition : Ant ASKMAN avec ses nouvelles originales telles que « Rumeurs » qui n’attendent qu’un dessinateur pour en faire des bédés cultes ! « Rumeurs » qui met en situations des histoires à la limite du polar, du tragique, du mélodrame, de l’humour aussi ou du cynique ! « Rumeurs » quoi ! 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, suvulunews et VittorioDenim . Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir, achetez des livres.

J'ai été "à suivre" donc, je l'ai lu

J’ai dans ma collection 8 numéros, en excellent état, de « A SUIVRE » qui datent le 1996/97.

Je suis prêt à m’en séparer contre un excellent prix puisqu’ils sont en excellent état et qu’ils se suivent. 

Mais, « à Suivre », qu’est-ce que c’est ? 

Paru de 1978 à 1997, ce mensuel était le rendez-vous des très belles et bonnes bédés. Ce qui était le meilleur de l’époque et le plus original nous faisait rêver d’un mois sur l’autre et nous attendions « la suite » qui était dans « à suivre » !

C’est là où j’ai vu, lu, pour la première fois les aventures philosophiques de la BD culte « Le Chat » de Philippe Geluck mais aussi tant d’autres excellents dessinateurs et scénaristes. 

Hugo Prat avec Corto Maltese, Bourgeon avec Les compagnons du crépuscule, Comes avec Silence, Léo Malet avec Nestor Burma, etc. Ils étaient tous là. Boucq, Loustal, Tardi, Moebius, etc. Tous là, je vous dis !

Pour comprendre, il faut que vous en possédiez un et vous verrez, vous aurez l’envie d’avoir les autres. 

  

Quoi de neuf depuis ?

 

Ma dernière acquisition : Ant ASKMAN avec ses nouvelles originales telles que « Rumeurs » qui n’attendent qu’un dessinateur pour en faire des bédés cultes ! « Rumeurs » qui met en situations des histoires à la limite du polar, du tragique, du mélodrame, de l’humour aussi ou du cynisme ! « Rumeurs » quoi ! 

  

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, suvulunews et VittorioDenim . 

  

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J'ai lu dans les Pensées de Marc-Aurèle

Je comprends, ça vous intrigue : comment ai-je fait pour lire dans les pensées de quelqu’un et, surtout, d’un homme qui a vécu il y a deux mille ans (né le 26 avril 121) ?

Eh bien, c’est très simple. J’ai ouvert le livre « Pensées pour moi-même » de Marc-Aurèle et j’ai lu dedans ! 

Je vais vous faire partager quelques extraits. 

Tout d’abord, une note du traducteur Mario Meunier, page 9 : « Si Marc-Aurèle, comme l’écrivit Hyppolite Taine, ‘est l’âme la plus noble qui ait vécu’, n’est-il pas nécessaire, pour connaitre cette âme,  de connaitre aussi la vie qu’elle dut mener ? »

Voilà qui m’a donné l’envie de continuer le livre. Mais, ce n’est rien par rapport à la suite.

Page 39 : « Dès l’aurore, dis-toi par avance : Je rencontrerai un indiscret, un ingrat, un insolent, un fourbe, un envieux, un insociable. Tous ces défauts sont arrivés à ces hommes par leur ignorance des biens et des maux. … (Là, je coupe un peu, je fais court) … Se comporter en adversaire les uns des autres est donc contre nature, et c’est agir en adversaire que de témoigner de l’animosité et de l’aversion. »

Ça m’a fait penser à ce que disait Coluche (Michel Colucci, 1944/1986) dans un de ses sketches : « Il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes beaux, il y aura des hommes moches et tous seront égaux ! »

Nous n’avons pas à juger, nous sommes peut-être nous-mêmes le défaut complémentaire qu’un autre n’a pas !

Page 61 : « Tu as subsisté comme partie du Tout. Tu disparaitras dans ce qui t’a produit, ou plutôt, tu seras repris, par transformation, dans sa raison génératrice. »

Celui-ci m’a fait penser à Lavoisier (Antoine Laurent Lavoisier, 1743/1794) : Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » 

Je n’ai pas fini le livre et donc je vous en reparlerai mais, rien que le premier tiers (dont je n’ai mis que 2 des dizaines de pensées, pour cause de place) est digne d’intérêt. Je suppose que les deux autres tiers sont du même acabit et vont me faire penser à d’autres personnages intéressants. 

Je vous conseille de lire le livre et de vous faire par vous-mêmes une idée du Monsieur. Pour moi, Marc-Aurèle était un Grand Homme, sans aucun doute. Ses pensées sont belles et instructives et devraient être mise en valeur dans les écoles. 

Comme l’a dit Ant Askman « Il y aurait moins d’imbéciles, moins d’hypocrites, moins d’individualistes dans les rues et dans les lieux dirigeants et par conséquent moins de casse et moins de colères si on remettait la morale à l’école. »

Ce qui me fait penser à Victor Hugo (1802/1885) qui a dit : « Celui qui ouvre une porte d’école ferme une prison. » 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, suvulunews et VittorioDenim . 

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Le masque puis la plume

Notre dédicace à Fessenheim fut un succès. 

Je profite de l’occasion pour dire Merci au Directeur du magasin qui nous a aimablement reçus et au personnel qui nous a montré de la sympathie. 

J’avoue, j’avais eu peur ; accueillir les amis des livres avec un masque, c’était incongru pour moi, voir impoli. Mais, il fallait se plier aux exigences de l’État. Alors, nous l’avons fait. 

En fin de compte, tout s’est bien passé. Nous avons sorti la plume et nous sommes assis derrière nos polars. 

Les clients du magasin sont arrivés. Ils avaient tous des masques et quand ils (surtout elles) venaient vers nous, c’était avec les gestes de sécurité qui sont devenus naturels. Ce n’est pas plus mal. 

Le masque a laissé parler la plume !

Nous avons donc pu dédicacer tranquillement et discuter sans appréhension durant toute la journée. 

Pour faire bonne dose, afin de donner aux retardataires et à ceux qui ne savaient pas que nous étions là, nous avons laissé quelques titres au Super U de Fessenheim qui nous avait accueillis.

De toute façon, vous pouvez demander à tout revendeur de livres, de la grande surface à la librairie, de vous commander un de nos titres ou même le commander vous-mêmes sur thebookeditions.com  

Et, si vous préférez des livres de poche, je vous propose Ant Askman qui vous ravira avec ses recueils de nouvelles et de poésies. Il vous suffit de cliquer sur le lien et vous serez reliés. 

Vous avez raison, c’est un bon choix. 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, suvulunews et VittorioDenim . 

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Dédicace repère en Fête

Masqués mais jamais baillonnés

Un père, vous savez ce que c’est ; chacun en a au moins un. (Si pas un père, au moins un géniteur !)

Un repère, c’est une borne ou une marque qui vous signale un endroit. En général, on dit ‘des repères’ car pour retrouver cet endroit c’est plus facile si on fait des recoupements. D’autant que ce sont aussi des limites à ne pas dépasser afin d’être en sécurité. 

Mais, quand un père est un repère, bien sûr on respecte sa fête mais, il nous signale un repaire, un gite, un refuge, un abri. En fait, il devrait en être ainsi. 

Et là, quand c’est le cas, on lui souhaite une Bonne Fête des Pères. 

Et, pour la Fête des Pères, les membres du Tandem Littéraire (pères à plusieurs titres puisque aussi créateurs de livres) seront en dédicace au Super U de Fessenheim, ce samedi le 20 juin. 

Vous pourrez les rencontrer, discuter et obtenir un livre polar personnalisé par une dédicace à l’intention de la personne désignée. 

Par contre, si vous préférez des livres de nouvelles ou de poésies, je vous propose deux autres auteurs dont vous pouvez acheter leurs livres sur internet : Ant Askman pour la poésie par exemple ou Rouge sur Blanc Tome 2 ‘Fabien et l’identité enfouie’ de Vittorio Di Marco pour ce qui est du roman alsatique. 

Vous avez raison, c’est un bon choix. Bonne Fête des Pères.

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». 

Bonne lecture et, partagez, faites-vous plaisir, achetez des livres.